C’est la voile gonflée par le vent
À tes côtés, revenu, sans imposture
L’espoir d’un lendemain, d’un futur
Et l’amertume dissipée, brusquement
Mais tristement, les larmes du refrain étant
Bouleversant mon cœur meurtri, mais aussi
Mon attachement, sous des tempêtes inouïes
Comme jadis, au jardin de tes égarements
Ne sachant comment aider, alors s’éloigner
Subissons la culpabilité, viendra le temps de la sérénité
Le soleil se lèvera demain
Un jour peut-être la brume se dissipera
Ce naufrage, entre solitude et inquiétude, une famille hantera
C’est la fin du refrain.
– Marco Bucci –